Les bases de FAM : La testostérone chez l'homme et la femme
Un taux élevé de testostérone chez les femmes : causes, symptômes et traitements
A la puberté, elle contribue notamment aux changements physiques telles que l’apparition de la voix grave, le développement des muscles, la pilosité, la production de sperme et le maintien de la santé et de la force des os. Chez la femme, elle est produite par les ovaires, en quantité moindre et est également responsable de l’apparition des poils, de la peau grasse ainsi que du désir sexuel. Comme les hormones œstrogène et progestéroneLa testostérone a des effets sur l'ensemble du corps chez les deux sexes, bien que les quantités naturelles varient entre les hommes et les femmes. Ce dernier volet de notre Les bases de FAM explore le rôle de la testostérone dans les corps masculins et féminins, les causes d'un taux trop élevé ou trop bas, et les conséquences d'un excès ou d'une carence en testostérone. Nous discuterons également des risques médicaux associés aux protocoles de testostérone "d'affirmation du genre" pour les femmes souffrant de dysphorie de genre. En plus d’une alimentation équilibrée, une activité physique régulière peut également stimuler la production naturelle de testostérone chez la femme.
Le zinc, présent dans les fruits de mer, les légumes verts à feuilles, les graines de citrouille et les noix, est essentiel pour la production et la libération de testostérone. Le magnésium, présent dans les légumes verts, les légumineuses, les grains entiers et les fruits secs, est également important pour le métabolisme hormonal. Les vitamines B, trouvées dans les céréales complètes, les légumes verts à feuilles et les produits laitiers, sont nécessaires au bon fonctionnement des glandes endocrines. En outre, les compétitions institutionnalisées comportent un ensemble de principes fondamentaux de l’équité revendiquée dans le sport, dont le premier est « l’égalité des chances sur la ligne de départ ». Du soupçon au contrôle, le sport de haut niveau depuis un siècle traque le "vrai sexe" des athlètes. Les tests de féminité, les violences médicales et politiques qui les accompagnent et les normes implicites – raciales, sociales, sexuelles – continuent de régir l’accès des femmes à la compétition.
Les athlètes non occidentales expliquent clairement qu’elles n’ont pas forcément les moyens économiques, ou alors tout simplement pas l’envie de performer leur genre pour désamorcer tout soupçon quant à leur identité sexuée. C’est le test de féminité, outil de contrôle du sport de haut niveau, qui leur a appris qu’elles ne pouvaient pas continuer à vivre normalement dans leur corps. L’intersexuation non « prise en charge » dès la naissance pose problème à partir du moment où ces sportives se distinguent par leurs performances. Complètement dépassées, les fédérations doivent alors trancher entre exclusion et autorisation à participer aux grandes épreuves féminines internationales. Les médecins peuvent recommander aux femmes ménopausées d'utiliser des formes d'œstrogènes qui sont insérées dans le vagin (p. ex., crèmes, comprimés, dans un anneau) pour traiter les symptômes du syndrome génito-urinaire de la ménopause. Ces formes d'œstrogènes peuvent maintenir la santé vaginale mais n'améliorent pas l'humeur, les symptômes vasomoteurs ou les troubles du sommeil. En plus de montrer des signes de testostérone élevée, le dysfonctionnement des glandes surrénales peut augmenter votre taux de cortisol et provoquer une pression artérielle élevée, des problèmes digestifs ou des troubles du sommeil.
Il est administré en injection sous-cutanée au moins 45 minutes avant l'activité sexuelle prévue. Les essais randomisés ont montré une augmentation du désir sexuel et aucune augmentation des événements sexuellement satisfaisants; les effets indésirables potentiels comprennent une HTA transitoire et une hyperpigmentation de la peau (4, 5). Les taux de testostérone doivent être mesurés au départ et après 3 à 6 semaines; chez la femme non ménopausée, l'objectif est de maintenir le niveau à une valeur normale ajustée pour l'âge. Si les taux sont supérieurs à la normale chez la femme non ménopausée, la testostérone est arrêtée ou la dose est diminuée. Limiter le traitement à court terme est recommandé et la testostérone doit être arrêtée en l'absence de réponse après 6 mois d'utilisation. La mammographie doit être effectuée à intervalle annuel régulier pour vérifier tout changement dans les seins en raison des effets possibles de la testostérone sur le tissu mammaire.
Les traitements comprennent des pilules contraceptives, des médicaments antiandrogènes et même la chirurgie pour enlever les ovaires si les médicaments ne sont pas efficaces. Il est aussi possible pour les femmes de souffrir d’un excès de production de testostérone. Cette condition peut être repéré par l’apparition d’un hirsutisme, c’est-à-dire l’apparition de poils de distribution masculine comme sur le visage ou sur le dos, par l’apparition d’acné ou par la chute des cheveux. Mais ces symptômes sont principalement esthétiques, ils permettent surtout de donner l’alerte (source).
"Les médicaments sont souvent un traitement de première ligne et peuvent apporter un soulagement rapide des symptômes", explique la Dre Alice Brown, un fournisseur de soins de santé spécialisée dans les traitements hormonaux. Les signes peuvent inclure une diminution de la libido, une fatigue persistante, des sautes d’humeur, une réduction de la masse musculaire, une perte de densité osseuse, et des difficultés de concentration. Il est crucial de consulter un professionnel de la santé pour évaluer vos besoins spécifiques et déterminer l’approche la plus appropriée pour augmenter vos niveaux de testostérone de manière sûre et efficace. Par exemple, des recherches ont montré que la thérapie à base de testostérone peut améliorer significativement la libido et le bien-être sexuel chez les femmes ménopausées.
La surveillance des niveaux de testostérone s’impose face à des symptômes persistants comme une infection peut-elle entraîner une baisse de testostérone ? fatigue chronique ou des troubles de la libido. Un professionnel de santé pourra prescrire un bilan hormonal complet pour évaluer l’équilibre entre les différentes hormones. L’analyse sanguine doit tenir compte du moment du cycle menstruel pour une interprétation précise des résultats. L’activité physique, en particulier les exercices de résistance comme l’haltérophilie, peut stimuler la production de testostérone. Le fait d’apporter certains changements à votre mode de vie peut également avoir une incidence sur le taux de testostérone. Commencer un programme d’exercice ou de perte de poids peut aider parce que perdre du poids peut améliorer les symptômes.
L’augmentation naturelle du taux de testostérone chez les femmes peut être favorisée par plusieurs moyens. Cela comprend une alimentation équilibrée, riche en nutriments essentiels, tels que des sources de protéines maigres, des graisses saines, des fibres alimentaires, du zinc, du magnésium et des vitamines B. En adoptant une alimentation équilibrée et en mettant l’accent sur ces nutriments clés, vous pouvez soutenir naturellement votre production de testostérone et maintenir un équilibre hormonal optimal chez la femme. Les médecins peuvent également administrer des injections de testostérone et des chercheurs médicaux étudient actuellement les effets des timbres et des granules de testostérone implantés dans la peau. Certaines femmes peuvent également obtenir des formulations de gel de testostérone en pharmacie. Toutefois, ces gels sont traditionnellement utilisés pour les hommes qui ont des taux moyens de testostérone beaucoup plus élevés que chez les femmes.
Les variations hormonales durant le cycle menstruel influencent naturellement les niveaux de testostérone. Ces fluctuations peuvent modifier temporairement l’humeur et le niveau d’énergie, sans pour autant signifier un déséquilibre hormonal. La période prémenstruelle voit souvent une augmentation légère de la testostérone, pouvant expliquer certains changements comportementaux. « C’est grâce à elle qu’un bébé qui vient de naître est véritablement d’aspect masculin. En effet, tôt dans la vie intra-utérine avant la production de testostérone le fœtus possède le même aspect extérieur », ajoute le Pr Jacques Young. Chez le fœtus de sexe masculin, la testostérone est produite pendant la vie anténatale et joue un rôle essentiel dans la masculinisation des organes génitaux, contribuant au développement des caractéristiques physiques typiquement masculines.
